Bio
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Jasm One
/ Artiste
/ Curateur
/ Président & Fondateur d’Art Valais OPEN AIR MUSEUM
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Jasm One, est un artiste d’origine suisse et tunisienne. Né en 1983 à Genève, il a grandit en Valais, vit à Lausanne et travail aujourd’hui hors des sentiers battus pour sémer et faire éclore son art aux quatre horizons du globe.
Issu du graffiti et diplômé de l’EDHEA – Ecole de design et haute école d’art (anciennement ECAV), Jasm One, a bâti sa reconnaissance par une vision et un parcours artistiques hétéroclites.
Artiste engagé et curateur avéré, il s’efforce de construire des ponts entre les cultures, les territoires, les individus et les idées. Son art est une reflection sur ce qui nous distingue, nous entoure et nous lie – à l’espace, au temps, aux autres, à nous-même.
Son travail pluridisciplinaires se comprend et se recoupe autour du thème de “la trace”, symbole de la mémoire, de l’empreinte et de l’existence, individuelle et collective. La force de ses oeuvres ne réside pas seulement dans la qualité visuelle et la pertinence artistique, mais aussi dans la capacité à révéler l’identité, les pratiques et les processus, en suivant la trace comme un vecteur de connaissance et de construction, essentiel à toute société.
Travaux
Lines of Soul
La naissance de «Lines Of Soul» prend source dans l’expression et la déconstruction du tag – signature typographique exercée en expression picturale urbaine répétée, visant à créer un marquage distinctif et une réflexion sur l’occupation de l’espace public. L’artiste a préservé l’essence de cette pratique tout en amenant le développement de sa typographie urbaine vers une nouvelle dimension.
Ce travail s’inscrit dans le continuum de l’évolution de l’écriture, depuis les pictogrammes et idéogrammes anciens jusqu’aux systèmes phonétiques complexes et les alphabets modernes. A l’exemple du «A», qui n’est autre que la représentation d’une tête de taureau inversée, l’ensemble des lettres que nous utilisons aujourd’hui sont issues de la transition d’une image concrète vers un symbole graphique abstrait. Dans «Lines of Soul», Jasm One explore et étend cette abstraction, adaptant l’expression du tag et de l’écriture à son époque et à son authenticité personnelle. La reconnaissance des lettres cède la place aux éléments qui les composent : la ligne, le mouvement, la spontanéité et la dimension spatiale sont réinventés pour créer un langage visuel distinct et identitaire. Avec cette approche, l’utilisation du nom (blaze) et de la typographie devient superflue pour l’identification de l’artiste. Les lignes, autonomes, forment désormais sa signature unique. Cette évolution marque un tournant crucial : l’élimination du nom d’artiste (blaze) comme sujet principal ouvre de nouvelles perspectives et dialogues. Le récit ne se concentre plus sur l’artiste et la propagande de son nom, mais sur l’interaction entre l’œuvre, son environnement et le public.
Ce langage innovant transforme les espaces et les surfaces en supports de réflexion et de conversation entre l’art, la société et les individus, illustrant l’art comme une expérience partagée et accessible. Il enrichit le paysage urbain, invitant à la contemplation et à l’engagement dans la vie quotidienne.
Vallensis
La naissance de «Lines Of Soul» prend source dans l’expression et la déconstruction du tag – signature typographique exercée en expression picturale urbaine répétée, visant à créer un marquage distinctif et une réflexion sur l’occupation de l’espace public. L’artiste a préservé l’essence de cette pratique tout en amenant le développement de sa typographie urbaine vers une nouvelle dimension.
Ce travail s’inscrit dans le continuum de l’évolution de l’écriture, depuis les pictogrammes et idéogrammes anciens jusqu’aux systèmes phonétiques complexes et les alphabets modernes. A l’exemple du «A», qui n’est autre que la représentation d’une tête de taureau inversée, l’ensemble des lettres que nous utilisons aujourd’hui sont issues de la transition d’une image concrète vers un symbole graphique abstrait. Dans «Lines of Soul», Jasm One explore et étend cette abstraction, adaptant l’expression du tag et de l’écriture à son époque et à son authenticité personnelle. La reconnaissance des lettres cède la place aux éléments qui les composent : la ligne, le mouvement, la spontanéité et la dimension spatiale sont réinventés pour créer un langage visuel distinct et identitaire. Avec cette approche, l’utilisation du nom (blaze) et de la typographie devient superflue pour l’identification de l’artiste. Les lignes, autonomes, forment désormais sa signature unique. Cette évolution marque un tournant crucial : l’élimination du nom d’artiste (blaze) comme sujet principal ouvre de nouvelles perspectives et dialogues. Le récit ne se concentre plus sur l’artiste et la propagande de son nom, mais sur l’interaction entre l’œuvre, son environnement et le public.
Ce langage innovant transforme les espaces et les surfaces en supports de réflexion et de conversation entre l’art, la société et les individus, illustrant l’art comme une expérience partagée et accessible. Il enrichit le paysage urbain, invitant à la contemplation et à l’engagement dans la vie quotidienne.
Human
La naissance de «Lines Of Soul» prend source dans l’expression et la déconstruction du tag – signature typographique exercée en expression picturale urbaine répétée, visant à créer un marquage distinctif et une réflexion sur l’occupation de l’espace public. L’artiste a préservé l’essence de cette pratique tout en amenant le développement de sa typographie urbaine vers une nouvelle dimension.
Ce travail s’inscrit dans le continuum de l’évolution de l’écriture, depuis les pictogrammes et idéogrammes anciens jusqu’aux systèmes phonétiques complexes et les alphabets modernes. A l’exemple du «A», qui n’est autre que la représentation d’une tête de taureau inversée, l’ensemble des lettres que nous utilisons aujourd’hui sont issues de la transition d’une image concrète vers un symbole graphique abstrait. Dans «Lines of Soul», Jasm One explore et étend cette abstraction, adaptant l’expression du tag et de l’écriture à son époque et à son authenticité personnelle. La reconnaissance des lettres cède la place aux éléments qui les composent : la ligne, le mouvement, la spontanéité et la dimension spatiale sont réinventés pour créer un langage visuel distinct et identitaire. Avec cette approche, l’utilisation du nom (blaze) et de la typographie devient superflue pour l’identification de l’artiste. Les lignes, autonomes, forment désormais sa signature unique. Cette évolution marque un tournant crucial : l’élimination du nom d’artiste (blaze) comme sujet principal ouvre de nouvelles perspectives et dialogues. Le récit ne se concentre plus sur l’artiste et la propagande de son nom, mais sur l’interaction entre l’œuvre, son environnement et le public.
Ce langage innovant transforme les espaces et les surfaces en supports de réflexion et de conversation entre l’art, la société et les individus, illustrant l’art comme une expérience partagée et accessible. Il enrichit le paysage urbain, invitant à la contemplation et à l’engagement dans la vie quotidienne.
Colors
La naissance de «Lines Of Soul» prend source dans l’expression et la déconstruction du tag – signature typographique exercée en expression picturale urbaine répétée, visant à créer un marquage distinctif et une réflexion sur l’occupation de l’espace public. L’artiste a préservé l’essence de cette pratique tout en amenant le développement de sa typographie urbaine vers une nouvelle dimension.
Ce travail s’inscrit dans le continuum de l’évolution de l’écriture, depuis les pictogrammes et idéogrammes anciens jusqu’aux systèmes phonétiques complexes et les alphabets modernes. A l’exemple du «A», qui n’est autre que la représentation d’une tête de taureau inversée, l’ensemble des lettres que nous utilisons aujourd’hui sont issues de la transition d’une image concrète vers un symbole graphique abstrait. Dans «Lines of Soul», Jasm One explore et étend cette abstraction, adaptant l’expression du tag et de l’écriture à son époque et à son authenticité personnelle. La reconnaissance des lettres cède la place aux éléments qui les composent : la ligne, le mouvement, la spontanéité et la dimension spatiale sont réinventés pour créer un langage visuel distinct et identitaire. Avec cette approche, l’utilisation du nom (blaze) et de la typographie devient superflue pour l’identification de l’artiste. Les lignes, autonomes, forment désormais sa signature unique. Cette évolution marque un tournant crucial : l’élimination du nom d’artiste (blaze) comme sujet principal ouvre de nouvelles perspectives et dialogues. Le récit ne se concentre plus sur l’artiste et la propagande de son nom, mais sur l’interaction entre l’œuvre, son environnement et le public.
Ce langage innovant transforme les espaces et les surfaces en supports de réflexion et de conversation entre l’art, la société et les individus, illustrant l’art comme une expérience partagée et accessible. Il enrichit le paysage urbain, invitant à la contemplation et à l’engagement dans la vie quotidienne.